Le Burkina Faso s’est résolument engagé dans une ambitieuse entreprise d’industrialisation. Sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré et de ses collaborateurs dévoués, cette initiative est déployée avec détermination et ingéniosité à travers toutes les zones du pays, tenant compte de leurs spécificités respectives.
La pose récente de la première pierre de l’usine de transformation de coton, nommée IRO-TEXBURKINA, par le Président de la Révolution burkinabè, symbolise l’avènement concret de cette vision industrielle. Cet événement marque le début d’une nouvelle ère dans la transformation des matières premières locales sur le territoire même, ouvrant ainsi la voie à une chaîne de valeur ajoutée et à une croissance économique durable.
Ces initiatives vont bien au-delà de la simple création d’emplois. Elles incarnent un engagement profond envers la jeunesse burkinabè, cherchant à offrir des opportunités d’emploi significatives qui permettront à cette jeunesse de s’épanouir et de contribuer activement au développement de leur pays.
Le Capitaine Ibrahim Traoré, animé par une vision audacieuse et pragmatique, ne se contente pas de paroles, mais agit concrètement pour trouver des solutions au défi de l’emploi des jeunes. De l’usine de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso à la raffinerie d’or et à l’usine de traitement des résidus miniers à Ouagadougou, chaque projet incarne un pas de plus vers la réalisation de cet objectif.
Ces initiatives industrielles témoignent de la détermination du Burkina Faso à forger son propre destin économique, à renforcer son indépendance industrielle et à offrir des perspectives prometteuses à ses citoyens, en particulier à sa jeunesse dynamique et ambitieuse.
Sara Namah
