Le Capitaine Ibrahim Traoré, conscient des enjeux énergétiques cruciaux pour le développement du Burkina Faso, a entrepris de doter le pays d’une capacité de production d’énergie nucléaire civile. Dans cette vision audacieuse, une feuille de route détaillée a été élaborée lors du Forum international sur l’énergie nucléaire « ATOMEXPO 2024 », qui s’est tenu à Sotchi, en Russie.
L’accord historique conclu avec le géant russe de la technologie nucléaire ROSATOM marque une étape majeure dans la concrétisation de cette ambition. En vertu de cet accord, le Burkina Faso s’engage à collaborer étroitement avec ROSATOM pour la construction d’une centrale nucléaire civile sur son territoire.
Ce partenariat stratégique vise à non seulement augmenter de manière significative la capacité de production d’électricité du pays, mais également à renforcer sa souveraineté énergétique en réduisant sa dépendance vis-à-vis des importations d’énergie.
Le projet de construction de la centrale nucléaire civile revêt une importance capitale pour le Burkina Faso, car il offre la possibilité de garantir un approvisionnement électrique fiable et stable à long terme. En effet, l’objectif ambitieux est de doubler la production d’électricité d’ici 2030, permettant ainsi au pays de répondre à la demande croissante en énergie et de stimuler son développement économique et social.
En renforçant son infrastructure énergétique avec une source d’énergie diversifiée et fiable, le Burkina Faso aspire à assurer une stabilité économique et sociale durable pour ses citoyens. En s’engageant dans ce partenariat stratégique avec ROSATOM, le Capitaine Ibrahim Traoré affiche sa volonté de jouer un rôle de premier plan dans le domaine de l’énergie nucléaire en Afrique de l’Ouest, tout en contribuant à la transition vers une économie verte et durable.
Adama Otoyiman
