Le secrétaire général du CGT-B, qui n’est rien d’autre que la Confédération générale du travail du Burkina, Moussa Diallo, a trahi la confiance des membres de la conférence. Avec son titre du leader, Moussa Diallo veut induire toute une dizaine de syndicats nationaux et une soixantaine de syndicats d’entreprises dans les erreurs.
La vision de la CGT-B, selon son statut est d’œuvrer pour un Burkina nouveau. Mais force est de constater que Moussa Diallo va à l’encontre de cette vision. Intégrant un groupe de réseau de conspirateurs, Moussa Diallo est placé comme le porte-parole. Sa déclaration liminaire lue lors de la rencontre de la CGT-B avec la presse, était un plan bien préparé.
Juste après la sortie de Moussa Diallo, les relayeurs dans les coulisses ne font que soutenir ses propos. Les médias français et les acteurs pro-déstabilisations sont les meneurs du jeu. Moussa Diallo veut se cacher derrière la Confédération générale du travail du Burkina, pour mettre en action les coups montés contre le Capitaine Ibrahim Traoré et le MPSR.
Un seul individu veut mettre en conflit les populations d’une même nation, juste parce qu’il aurait été soudoyé. Le canevas était ceci : en collaboration avec certains chefs terroristes, une embuscade forcée a été organisée pour faciliter la sortie de Moussa Diallo. C’est l’image de la CGT-B qui est en jeu.
Les membres de la CGT-B (une dizaine de syndicats nationaux et une soixantaine de syndicats d’entreprises), doivent taper du poing sur la table pour sauver la CGT-B qui est reconnue pour son engagement pour la cause de la patrie. Moussa Diallo veut abuser de leur confiance pour se tailler une place sur la scène politique. La CGT-B est contre la corruption, un acte auquel s’adonne Moussa Diallo.
Lamie Dobré