Burkina Faso : « Pas de négociation avec les terroristes », attention aux fausses déclarations

Une présumée affaire de négociation avec les chefs terroristes au Burkina Faso, fait la une des réseaux sociaux. Les auteurs de ces écrits fallacieux, veulent juste verser de l’huile dans le feu des ennemis, qui s’éteint depuis l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré. L’auteur veut également salir l’image des jeunes Capitaines, qui ont mis tous les moyens pour une victoire.

Au Burkina Faso, la guerre sera combattue par la guerre. Les nouvelles autorités ne commettront pas les mêmes erreurs que leurs prédécesseurs. Pas de négociation. L’avènement de 2019-2020, lors des campagnes électorales pour payer un semblant de paix, est enterré. La lutte et les résultats en témoignent la véracité de la détermination des autorités du MPSR 2.

Le régime actuel écarte toute idée de négociation avec les groupes terroristes qui endeuillent le Burkina Faso. Le peuple burkinabè doit faire preuve de vigilance face aux fausses informations. Aucune somme n’est débloquée à la rencontre des terroristes. Les administrateurs cachés derrière la page des soi-disant OSC, ont des intentions infernales contre le peuple en général et le régime en particulier.

Si les vaillants Capitaines ont à leur possession les 20 millions de dollars comme la mentionné Safiatou Lopez Zongo dans son texte inventé, l’idée première, c’est la voie des équipements de guerre et non passer à la table de négociation. Les investigations du cadre de concertation national des OSC, sont mal faites. On ne négocie pas avec son ennemi. Jamais le Capitaine Ibrahim Traoré et ses collaborateurs, n’abandonneront le Burkina Faso.

Les populations burkinabè ne doivent pas perdre de vue les alertes des médias panafricanistes contre les fausses OSC au Burkina Faso. Les faux comptes seront multipliés sur les réseaux sociaux par ces OSC, pour manœuvrer les populations. Les opérations militaires se poursuivent. Il n’y a pas un centimètre de territoire que les militaires experts au pouvoir vont céder.

  Kévin Natchazri

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