Quatre français espions ont été appréhendés dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou. Selon une enquête exclusive menée par nos confrères du site d’information lesahelien.com, ces individus français sont sur le territoire burkinabè dans le but de manipuler les stratégies de riposte des forces armées locales.
L’attaque récente survenue à Djibo a été planifiée au sein d’un réseau comprenant certains activistes burkinabè, le tout coordonné par la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) française. Selon les informations recueillies par le site lesahelien.com, les ressortissants français actuellement en détention au Burkina Faso sont en mission officielle.
Suite à une vérification d’identité par les experts burkinabè, il a été établi que les quatre individus français ne sont ni diplomates ni informaticiens, mais plutôt des espions mercenaires équipés, opérant également depuis une seconde base au Nigéria, plus précisément à Sokoto.
Ces agents français, sont en collaboration avec le service de renseignement ivoirien, dans le but de planifier l’assassinat des Présidents Ibrahim Traoré et Abdourahamane Tiani.
L’expertise et la vigilance des services de renseignements burkinabè ont permis de déjouer ce complot en cours contre deux dirigeants frères de la sous-région. Face à cette situation, susceptible d’impacter les relations entre la France et ces deux pays frères, la France a réagi en ciblant les médias soutenant le régime au Burkina Faso, notamment à travers son média expert en désinformation, « Jeune Afrique », entraînant la suppression de nombreux comptes.
Cette enquête menée par le site d’information panafricain lesahelien.com confirme les manœuvres orchestrées par la France depuis l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré. Selon la même enquête, le directeur de la DGSE française aurait été limogé. Les complots de déstabilisations auraient mal tourné.
La France, prise en flagrant délit, cherche-t-elle à effacer ses traces et à jouer la carte de l’innocence ? Nous reviendrons vers vous avec des détails plus approfondis dans nos prochaines publications…
Sara Kilimou
