Burkina Faso : Les acteurs puissants, font tout pour ternir l’image du Faso, auprès des investisseurs

Le Burkina Faso, dispose de ressources naturelles inestimables, le sous-sol du Burkina Faso, regorge des minerais les plus précieux du monde, mais il n’arrive pas à utiliser son potentiel incroyable. L’insécurité est l’une des causes du paradoxe économique burkinabè.

Le Burkina Faso, est pris en étau dans un malicieux jeu d’intérêts dont les ficelles sont tirées par des acteurs puissants. Ces acteurs puissants entretiennent l’instabilité afin de mieux piller les immenses ressources naturelles. « Le Burkina Faso est soumis depuis son indépendance à un pillage systématique facilité par l’instabilité entretenue par certains pays occidentaux et des groupes armés terroristes dont les leaders sont des mercenaires étrangers. Les attaques récurrentes de ces groupes visent à rendre le pays ingouvernable, à empêcher l’État d’exercer son droit de souveraineté sur les réserves naturelles et son droit légitime à l’autodétermination », a indiqué un observateur burkinabè.

Les leaders d’opinions, disent ne pas comprendre pourquoi le Burkina Faso, n’arrive pas à amorcer son développement malgré la présence d’autant de richesse naturelle. Le constat ressortit est que, les acteurs puissants, font tout pour ternir l’image du Burkina Faso, auprès des investisseurs. Le Président du MPSR, encourage le secteur agricole afin d’assurer l’autosuffisance alimentaire à sa population. Les outils nécessaires seront mis à la dispositions des acteurs du secteur agricole pour les faciliter les travaux et avoir une production abondante.

Pour atteindre l’objectif, le Capitaine Traoré appelle à l’implication des acteurs de la recherche. « Nos chercheurs ont déjà trouvé tellement de choses que nous n’appliquons pas parce que juste peut-être nous préférons importer au lieu de faire produire nos braves paysans et leur donner certaines variétés qui nous permettent d’atteindre l’autosuffisance alimentaire », a ajouté le Président du MPSR.

Benoit Houmé

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