Burkina Faso : Les terroristes n’ont qu’une option, le dépôt des armes face à la puissance des forces de défense

Cela fait déjà quelques mois que le Capitaine Ibrahim Traoré a pris le pouvoir. À son arrivée, la donne a changé, il a décidé de prendre le taureau par les cornes.

Il y’a quelques jours, les autorités burkinabè ont demandé le départ des forces françaises pour permettre au pays de se défendre par lui-même. « Le Burkina-Faso n’a pas rompu les relations diplomatiques avec la France et le groupe de paramilitaires russe Wagner n’est pas dans le pays des hommes intègres », c’est ce qui ressort d’une déclaration faite par le Président du MPSR.

Le Président du MPSR, a fait plusieurs annonces dans le cadre de la lutte contre les terroristes. Fustigeant les terroristes qui prétendent se battre pour Dieu, il a affirmé qu’ils se battaient pour eux-mêmes et pour des forces obscures. Pour lui, « si certains combattants veulent se ressaisir et jouer un rôle dans la société, la porte reste ouverte ».

Le Président du MPSR, a également abordé le cas des exactions dénoncées contre les populations locales lors des opérations contre les terroristes. Pour lui, « s’il existe des cas isolés à cause de certains terroristes qui se cachent parmi les populations, il n’y a aucune volonté d’exactions directes menées contre les populations civiles ».

L’armée burkinabè poursuit son offensive impitoyable contre les groupes terroristes. De nombreux agresseurs ont été mis hors d’état de nuire. Les terroristes ne peuvent plus se cacher nulle part au Burkina Faso, car les FDS détiennent de la logistique de dernière génération qui permet de les repérer et de frapper à tout moment. Les djihadistes n’ont qu’une seule option, le dépôt des armes.

L’homme fort du MPSR, a promis faire de la lutte contre le terrorisme, sa priorité. Une promesse qui est en train de se réaliser.

Enrifou Amenu

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