Les autorités burkinabè sont à pied d’œuvre pour éclairer la lanterne sur l’acte brutal causé par les assaillants dans la localité de Karma. Les hommes sans foi, déguisés en militaire burkinabè, se sont attaqués aux civils de ladite zone. Suite à l’attaque, la réaction première de certaines organisations internationales, est le taux de décès. Un communiqué devançant celui des autorités burkinabè en place fait état de plus d’une centaine de morts. On se demande par quelle alchimie ces organisations internationales et leurs acolytes ont su compter les victimes à quelques heures de l’attaque ? La réaction de ces organisations, a interpelé les observateurs sur la question de savoir, la position de la communauté internationale dans l’attaque de Karma.
Selon un communiqué de la porte-parole du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, la dame Ravina Shamdasani, accuse l’armée burkinabè d’être à l’origine de l’attaque. Le communiqué des autorités en charges, présentes sur le terrain prouve le contraire. Cette accusation sans preuves nous rappelle la scène qui s’est produite avec les pèlerins Tidjani. Un plan de la France, où les acteurs de la manipulation, ont jeté tous les torts du massacre sur les FDS et VDP. Les populations burkinabè doivent donc redoubler de vigilance face aux informations qui vont à l’encontre de la vision du moment. Les bonnes informations sont celles fournies par les autorités qui maitrisent la situation.
Les ennemis du Burkina Faso, vont une fois encore essayer de profiter de la situation pour infiltrer leur plan de déstabilisation. Ces chiffres sont inventés dans le but de remonter la peur au sein de la population. Rappelons un fait, les FDS et VDP, ont suivi des formations sur la notion des droits humains, sur les stratégies de riposte en faisant la différence entre un civil et un suspect. Les arguments avancés mettant les soldats burkinabè au-devant de la scène comme auteurs de l’attaque, font partir comme toujours des plans de l’ennemi. Ils cherchent à affaiblir la puissance de l’armée, qui constitue aujourd’hui un blocus.
Le Gouvernement burkinabè rassure l’opinion nationale et internationale, qu’il fera absolument tout ce qui relève de ses prérogatives pour la manifestation totale de la vérité dans ce drame. Le Gouvernement suit de près l’évolution de l’enquête. Le peuple burkinabè doit aider le Gouvernement dans cette lutte, en dénonçant toutes informations sur les faits.
Les opérations de ratissages se poursuivent, les récalcitrants sont appelés à déposer définitivement les armes.
Dauba Daniel