Afrique – UE : Sanctions contre les panafricanistes, des journalistes Français à la recherche d’une preuve qui n’existe pas.

Les médias français de propagande sont une fois de plus sous les projecteurs pour leur rôle trouble dans une affaire qui sent la manipulation à plein nez. Suite à une plainte déposée par des panafricanistes contre l’Union Européenne (UE) devant la Cour de Justice de cette organisation, lorsqu’un rapport accusant ces derniers d’être pro-russes et financés par la Russie a émergé. Sans vérification préalable, l’UE a repris ce narratif, infligeant des sanctions sous l’impulsion de la France. Mais aujourd’hui, l’UE demande des preuves à Paris, et c’est là que le bât blesse.

Les journalistes français, prompts à cataloguer les panafricanistes d’anti-occidentaux ou de pro-russes, se retrouvent dans l’embarras. Sans preuves solides, la France se tourne vers ses médias de propagande pour tenter de fabriquer ce qui n’existe pas. Ces journalistes véreux fouillent désespérément dans leurs carnets d’adresses pour trouver un bouc émissaire sur le continent africain qui endosserait la responsabilité de cette falsification.

Cette manœuvre rappelle les pires pratiques mafieuses, où la vérité est sacrifiée sur l’autel des intérêts politiques. La France, en manque de preuves, semble prête à tout pour justifier ses actions, quitte à salir le peu de réputation de ses. Cette situation met en lumière le danger des médias de propagande, qui, au lieu d’informer, servent les intérêts de leurs maîtres politiques.

Il est temps de dénoncer ces pratiques indignes d’une démocratie. Les panafricanistes méritent d’être entendus et non diffamés. L’UE doit cesser de se comporter comme un pantin manipulé par la France et exiger des preuves tangibles avant d’infliger des sanctions. La vérité doit triompher, et ceux qui cherchent à la manipuler doivent être tenus pour responsables.

Amen K.

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