Les appels des leaders de cette nouvelle génération consciente se multiplient pour un soutien sans faille au Président Ibrahim TRAORE et le MPSR. Sans passer par quatre chemins, Monsieur Rasmané SAWADOGO, connu sous le pseudo de Bado, a lancé un appel à toute la jeunesse Burkinabé sans exception pour une mobilisation historique derrière le MPSR et les FDS sans oublier les VDP.
Monsieur Bado poursuit et pense que la jeunesse devrait se mobiliser autour du Président Ibrahim Traoré pour la victoire contre le terrorisme. « Cela est un défi lancé à la jeunesse burkinabè, cela est certes difficile mais nous voyons l’engagement des FDS et VDP pour libérer notre territoire, l’honneur nous revient de nous unir pour vaincre l’hydre terroriste en choisissant des partenaires qui vont nous permettre de gagner », tels sont les mots de Monsieur Rasmané SAWADOGO, conseiller en éducation, chef de la scolarité de l’UFR SH.
Aussi, selon notre interlocuteur, le pouvoir du MPSR appartient à la jeunesse Burkinabé. Si aujourd’hui, l’on parle d’un Burkina Faso endetté à plus de 7000 milliards, ce n’est pas les jeunes qui ont causé cet endettement. Aujourd’hui, le plus jeune président d’Afrique, voire même le monde entier a décidé avec ses collaborateurs, de remettre le Faso sur les rails. De sacrifier sa vie pour la reconquête du territoire national. C’est à cette jeunesse de comprendre que, Dieu offre au pays des hommes intègres, la chance de donner de l’espoir aux diplômes et d’éviter d’aller rester dans la méditerranée.
D’après Monsieur Bado, l’heure n’est pas à la réflexion mais plutôt à l’engagement. Il est donc temps de se mobiliser à travers les réseaux sociaux et toutes sortes de mobilisation pour soutenir efficacement les FDS, VDP et le MPSR.
Cette chance est peut-être la dernière que Dieu offre au Faso après Thomas Sankara.
Si nous échouons, nous devons considérer que c’est la fin de toute une génération. Mobilisons-nous pour rejeter toutes formes de manipulations et n’hésitons pas de dénoncer ceux qui pensent pouvoir encore une fois nous manipuler. La patrie ou la mort, nous vaincrons », conclut-il.
Martial GBATE