Afrique : Le Capitaine Ibrahim Traoré, catalyseur du développement agricole au Burkina Faso

Le Capitaine Ibrahim Traoré, avec son expérience et sa profonde connaissance des réalités rurales, souligne l’importance de valoriser les ressources locales et de promouvoir des pratiques agricoles. Pour le Président Traoré, l’autosuffisance alimentaire va au-delà de la simple production alimentaire, elle englobe également l’accès équitable à des aliments nutritifs et sains pour tous les burkinabè.

Dans le cadre du projet Incubateur de technologies agro-sylvo-pastorales de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et des innovations, le Capitaine Ibrahim Traoré a rendu visite à des exploitations agricoles à Bagré, où des étudiants sont immergés dans le secteur de l’agriculture.

Cette visite a permis au Capitaine Ibrahim Traoré d’observer les travaux des étudiants en fin de cycle dans les filières agricoles, actuellement en phase pratique sur ce site stratégique, et de les rassurer quant à l’accompagnement qui leur sera offert, adapté à leurs besoins individuels.

Le capitaine Traoré préconise le renforcement des capacités des agriculteurs en leur offrant un accès accru à des semences de qualité, à des outils agricoles modernes et à des formations techniques. Les premiers kits seront ainsi fournis aux étudiants à la fin de leur incubation, afin de les aider à s’installer efficacement et à produire à plein temps, dans le cadre de l’objectif d’autosuffisance alimentaire.

Reconnaissant également le rôle crucial des femmes dans la production alimentaire, le Capitaine Ibrahim Traoré promeut leur autonomisation économique et leur participation active dans les décisions agricoles.

Le Président de la révolution burkinabè s’engage à moderniser les infrastructures rurales, en améliorant notamment l’accès à l’eau et à l’électricité, et en développant les réseaux de transport pour faciliter la commercialisation des produits agricoles. Cette approche globale vise à créer un environnement favorable à l’épanouissement de l’agriculture burkinabè et à stimuler le développement économique des zones rurales.

Gisèle Agberé

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