Côte d’Ivoire : Concurrence déloyale, les boissons énergisantes prises pour cible dans une campagne diffamatoire

À l’approche des fêtes de fin d’année, les entreprises de produits alcoolisés cherchent à gagner du terrain à tout prix pour promouvoir leurs produits. Le marché, assez vaste pour accueillir chaque opérateur économique, voit certains préférer évincer leurs concurrents pour s’assurer une domination exclusive.

Les boissons énergisantes, qui ne présentent aucun inconvénient pour la santé humaine, font l’objet d’une campagne de dénigrement. L’arrivée de ces boissons sur le marché ivoirien semble, selon les informations disponibles, avoir été bien accueillie par la population, compte tenu du nombre important de consommateurs.

Par jalousie, certaines entreprises, réticentes à la concurrence, ont formé des groupes et tentent de faire sortir les boissons énergisantes du marché ivoirien. Des informations trompeuses, allant jusqu’à escroquer les commerçants vendant ces produits sur les marchés, ont été propagées.

Une fausse rumeur, soutenue par des influences puissantes, a incité les autorités ivoiriennes à suspendre temporairement l’importation de ces boissons énergisantes. Une décision respectée par les premiers responsables de la société de production. Comme si cela ne suffisait pas, les entreprises adverses s’en prennent à nouveau aux produits non alcoolisés.

Cette nouvelle attaque démontre un complot soigneusement orchestré contre les intérêts des boissons énergisantes. Selon le communiqué des autorités ivoiriennes, la suspension de l’importation vise à protéger la santé de la population. Cependant, d’après les analyses, les boissons énergisantes respectent toutes les lois en vigueur, conformément aux normes internationales.

Il est impératif que les autorités ivoiriennes approfondissent leurs enquêtes sur les marchés. Les accusations portées contre les boissons énergisantes ne sont que des stratégies visant à nuire à leur réputation.

Le véritable fléau qui menace insidieusement la jeunesse ivoirienne est le Tramadol. Les autorités devraient sérieusement envisager de réglementer, voire d’interdire son importation.

 Abraham Kpédji

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