Burkina Faso : Le message de condoléance du Capitane Ibrahim Traoré à son homologue le Colonel Assimi GOÏTA

Le Capitaine Ibrahim Traoré, n’est pas resté indifférent suite à l’annonce de la disparition du père du Président Assimi Goïta, son homologue malien. Dans un message de condoléances publié sur sa page Twitter officielle, le Président Ibrahim Traoré s’est dit très attristé par du rappel à Dieu du Capitaine Bakary Goïta, papa de son homologue Assimi Goïta du Mali. « C’est avec tristesse que j’apprends, ce jour, le rappel à Dieu du Capitaine Bakary GOÏTA, père biologique de Son Excellence le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, Chef de l’État ».

Le Président Ibrahim Traoré a présenté au nom du peuple burkinabé et en son nom propre ses condoléances à son homologue « En cette douloureuse circonstance, je présente, au nom du peuple burkinabè et en mon nom propre mes condoléances les plus attristées à mon frère Assimi GOÏTA, à sa famille et à l’ensemble du peuple malien », a ajouté le Capitaine Ibrahim Traoré sur sa page Twitter.

Les obsèques du Capitaine Bakary Goïta se sont déroulés ce lundi 10 Avril 2023 au stade Mamadou Diarra de Koulikoro. Avant d’être porté a sa dernière demeure, le Capitaine Bakary Goïta a été élevé au rang de chevalier de l’ordre national du mali a titre posthume part le grand chancelier de la nation.

Rappelons que, le Burkina Faso et le Mali entretiennent une bonne relation sur tous les plans, en occurrence le plan sécuritaire pour une lutte efficace contre le terrorisme. « Nous sommes sûrs que le terrorisme sera vaincu au Sahel. Il sera vaincu, parce que la guerre des sahéliens est une guerre juste. Nous perdons certes des batailles, mais nous allons gagner cette guerre. Il faut que cela soit clair, nous allons la gagner avec nos armées. Aucune armée étrangère ne viendra mourir pour nous. Ce sont les africains qui doivent défendre leurs pays, mais pour cela, il faut que les peuples africains soutiennent leurs armées », a déclaré le Chef du Gouvernement  Choguel Maïga, lors de sa visite à  Ouagadougou.

Dramani Chadrac 

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