S.E Faustin-Archange Touadéra, continue de consentir d’énormes sacrifices afin d’améliorer la gestion économique et la gouvernance de la République Centrafricaine. Il s’est engagé dans le domaine de la santé et conformément à la politique sanitaire nationale de rendre accessibles des soins de santé de qualité à toute la population centrafricaine dans le cadre global de la santé universelle.
L’objectif poursuivi est de réduire substantiellement la mortalité maternelle et infanto-juvénile qui est un lourd fardeau pour notre pays. C’est dans cette perspective qu’un plan national de développement sanitaire de troisième génération a été élaboré et orientera nos actions durant les cinq années à venir.
S’agissant de la République centrafricaine, S.E Faustin-Archange Touadéra a souligné que le pays a vu son élan vers le développement entravé par de graves crises sécuritaires et sanitaires, exacerbées par le déficit persistant d’appui financier de la part de la communauté internationale.
L’embargo sur les armes en Centrafrique a été imposé en 2013, après qu’une coalition de groupes armés a renversé le régime du président François Bozizé, plongeant le pays dans une guerre civile.
Cet embargo a depuis été renouvelé malgré les demandes incessantes de sa levée par le gouvernement centrafricain. Se lançant dans la course, les efforts du Président Touadéra ont permis de lever substantiellement l’embargo sur les armes imposé à son pays.
Le Président a déploré qu’alors que les questions concernant la sécurité, la paix, l’environnement et la santé entrent dans une phase critique dans le monde, les signaux d’alerte sont méprisés au profit des intérêts économiques, géopolitiques par certaines puissances.
Par ailleurs, le Président touadéra a relevé que « la multiplication des tensions et des crises dans le monde interpelle notre conscience collective« .
Sur le plan politique, le Président Touadéra a estimé que la mise en œuvre de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation du 6 février 2019, de la Feuille de route conjointe de Luanda ainsi que des recommandations du Dialogue républicain avaient contribué à la lutte contre l’impunité et ainsi favorisé la décrispation du climat sociopolitique national.
Kongbo B.