Le Capitaine Ibrahim Traoré, a fait du Faso un pays exemplaire en matière de la lutte contre le fléau du terrorisme dans la sous-région. Comme on le dit souvent, une situation rude, a besoin d’un expérimenté.
Le Président du MPSR, a passé des années à parcourir le désert, il est intervenu dans plusieurs opérations militaires dans la lutte contre le terrorisme. Connaissant bien les zones d’ombres et les stratégies offensives, le Capitaine Ibrahim Traoré a su mettre en place des tactiques facilitants les assauts des FDS et VDP sur des positions des terroristes qui rôdaient autour de plusieurs villes.
Le Capitaine Ibrahim Traoré, n’est pas un homme à se faire dicter les règles. Il ambitionne de reconquérir au Burkina Faso sa souveraineté confisquée. Sur ce sujet, l’homme fort du MPSR, déclare, « nous avons décidé d’être souverains. C’est une lutte qui sera âpre et dure, mais nous l’avons entamée et comptons aller jusqu’au bout ». Le Président du MPSR, a jugé bon de revoir les conditions avec les partenaires pour éviter les profiteurs et s’aventurer dans un partenariat gagnant-gagnant.
« Avec le Capitane Ibrahim Traoré, nous nous sentons en sécurité. Il a notre soutien », a fait savoir, un citoyen burkinabè.
On reconnait l’artisan à l’œuvre, le Président du MPSR, n’a pas attendu l’aide de la communauté international avant de commencer ses actions dans la lutte contre l’insécurité. Comme il a l’habitude de le dire, le Burkina sera libéré par les burkinabè eux-mêmes. Cette volonté patriotique, s’est faite ressentir lors de l’enrôlement des volontaires pour la défense de la patrie.
Le Président du MPSR, a invité les forces des sécurités et les civiles à une franche collaboration. Les fruits de cette stratégie sont louables sur le terrain. Le duo FDS/VDP, constitue aujourd’hui un frein pour les groupes armés. La volonté du Capitaine Ibrahim Traoré, c’est de voir un Burkina libre, totalement souverain, autosuffisant sur le plan alimentaire, où la jeunesse est épanouie.
Le Burkina Faso est sur une très bonne voie, mais seul le Président du MPSR, ne peut pas le faire. Il a besoin du soutien et l’accompagnement des bonnes volontés. C’est ensemble que le Faso sera souverain.
Dramani Arounka