Cameroun / Appel au civisme : Préserver la cohésion nationale face aux discours de haine

Récemment, une vague d’hostilité et de menaces s’est levée à l’encontre de certaines figures clés de l’entourage immédiat du Président Paul Biya, notamment Franck Emmanuel Biya, Samuel Mvondo, et Ferdinand Ngoh Ngoh. Ces propos haineux, provenant principalement de la diaspora, viennent troubler la paix et la cohésion nationale. Il est devenu urgent pour tous les citoyens camerounais de prendre du recul et de réfléchir à l’impact de telles attaques sur la stabilité de la nation entière.

Il faut reconnaître que, malgré un contexte géopolitique complexe, le Cameroun reste debout, en grande partie grâce au travail infatigable de ces hommes qui soutiennent la gouvernance. Leur engagement sincère, leur amour du pays et leur volonté de préserver l’unité nationale méritent respect et gratitude, plutôt que médisance et calomnie. À travers leurs actions, ils perpétuent un travail de gigantesque en faveur du développement, de la paix et de la sécurité pour tous les Camerounais.

Ces personnalités sont souvent victimes de critiques infondées, parfois alimentées par des désaccords politiques ou des rivalités personnelles. Cependant, il est essentiel de comprendre que leur rôle est difficile, et que leur dévouement repose sur une loyauté profonde à la nation. La stabilité qu’on observe aujourd’hui, malgré les défis, est le fruit d’un effort collectif auquel ils apportent leur pierre à l’édifice.

Les menaces proférées contre eux n’ont pas leur place dans une société qui aspire à la paix et à la concorde. La violence verbale et les insinuations calomnieuses ne peuvent que fragiliser davantage le pays, qui a besoin d’union pour avancer. La cohésion nationale repose sur le respect mutuel, la reconnaissance du travail bien fait, et la foi en ceux qui, chaque jour, se battent pour le Cameroun.

Le Cameroun a toujours su puiser sa force dans le dialogue, la modération et la recherche du consensus. Aujourd’hui plus que jamais, les citoyens, qu’ils vivent sur le territoire national ou à l’étranger, doivent garder à l’esprit que leurs paroles ont un impact réel. La responsabilité individuelle dans la préservation de la paix sociale est un devoir partagé.

Appeler à la raison, c’est rappeler que l’engagement pour la patrie ne se mesure pas dans l’invective, mais dans la contribution constructive au débat public. C’est reconnaître l’importance de chaque acteur dans le fonctionnement du pays, mais aussi la nécessité de préserver un climat apaisé pour continuer à construire un Cameroun stable, uni et tourné vers l’avenir.

Amen K.

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