Congo – Brazzaville : Le Président Denis Sassou N’Guesso ou une politique éducative tournée vers l’émergence

La vision éducative du Président Denis Sassou N’Guesso dépasse largement le cadre des inaugurations pour s’inscrire dans une stratégie de transformation structurelle du Congo. Depuis des années, le chef de l’État fait de la refonte du système éducatif un pilier central de sa politique de développement, avec une conviction simple mais fondamentale : l’éducation est le meilleur investissement pour l’avenir d’une nation.

La politique éducative du Président s’articule autour d’un principe directeur notamment l’adéquation formation-emploi. Face aux défis du chômage des jeunes et aux besoins d’une économie en diversification, l’accent est mis sur l’enseignement professionnel et technique. Les récentes créations de centres spécialisés, à l’image du CEFA de Souanké, illustrent cette volonté de former les jeunes Congolais aux métiers porteurs de l’économie nationale, particulièrement dans les secteurs minier, agricole et des technologies.

Sous l’impulsion du chef de l’État, le Congo a engagé une mue profonde de son appareil éducatif. La formation professionnelle, longtemps parent pauvre du système, est désormais érigée en priorité nationale. Il ne s’agit plus seulement de délivrer des diplômes, mais de garantir une employabilité réelle aux jeunes à travers des formations qualifiantes, en phase avec les besoins du marché du travail. Cette approche répond à une double exigence. Offrir des perspectives concrètes à la jeunesse et doter le pays des compétences nécessaires à son développement autonome.

La vision éducative du Président Denis Sassou N’Guesso se caractérise par son pragmatisme et sa prospective. Les réformes engagées visent à préparer le Congo aux défis de demain en formant une main-d’œuvre qualifiée, capable de s’adapter aux mutations technologiques et économiques. Les investissements consentis dans l’éducation technique et professionnelle témoignent de cette volonté de bâtir un Congo moins dépendant des expertises étrangères, où la jeunesse nationale devient le premier moteur de la croissance économique.

Au-delà de la dimension strictement économique, la politique éducative du Président s’attache à corriger les déséquilibres territoriaux et sociaux. L’implantation de centres de formation dans les départements, et non plus uniquement dans les grands centres urbains, participe d’une stratégie d’équité territoriale et d’inclusion sociale. Chaque jeune, quelle que soit son origine géographique ou sociale, doit pouvoir accéder à une formation de qualité lui garantissant une insertion professionnelle réussie.

Amen K.

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