Cameroun : Vers une équipe gouvernementale de technocrates pour relever les défis et répondre aux attentes du peuple.

À l’aube de la nouvelle ère politique qui s’ouvrira après l’élection présidentielle du 12 octobre 2025, le Cameroun se trouve à un tournant décisif de son histoire. Le pays, riche en potentiel mais confronté à des défis économiques, sociaux et institutionnels majeurs, a besoin d’un souffle nouveau au sein de son exécutif. Un remaniement ministériel s’impose désormais au Président Paul Biya pour insuffler une dynamique de gouvernance plus efficace et résolument tournée vers les résultats.

Depuis plusieurs années, les attentes des citoyens ne cessent de croître. Les Camerounais réclament une administration performante, capable d’assurer la croissance, l’emploi et la justice sociale. Pour répondre à ces aspirations, la constitution d’une équipe gouvernementale composée de technocrates s’avère indispensable. Il s’agit de privilégier la compétence, l’efficacité à la loyauté politique, et la vision stratégique à la simple exécution de consignes.

Le Cameroun doit désormais miser sur des femmes et des hommes d’action, issus de divers horizons, ayant fait leurs preuves dans la gestion publique et privée. Ces profils doivent être capables de transformer les grandes orientations du Chef de l’État en politiques publiques concrètes, mesurables et durables. Le futur gouvernement va ainsi incarner le pragmatisme, la rigueur et la responsabilité.

Les défis sont nombreux : relancer l’économie nationale, moderniser les infrastructures, consolider la paix et l’unité nationale, promouvoir la bonne gouvernance et accélérer la décentralisation. Dans un contexte mondial marqué par la compétition économique et la transition numérique, le Cameroun ne peut se permettre de rester à la traîne. Seule une équipe dotée d’une vision claire, d’une expertise avérée et d’un engagement patriotique sans faille comme l’a annoncé le Chef de l’État pourra relever ces défis.

Le moment est donc venu pour le Président Paul Biya de poser cet acte fort, celui d’un gouvernement de technocrates capables de concilier loyauté institutionnelle et performance managériale. Un tel choix serait non seulement un signal fort de renouveau, mais aussi une réponse aux attentes pressantes d’un peuple qui aspire à un changement tangible dans la gouvernance publique.

Amen K.

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