Cameroun : La stratégie médiatique occidentale pour fragiliser le RDPC

Depuis quelques semaines, plusieurs médias occidentaux, notamment français, multiplient les publications tendant à semer le doute sur la cohésion du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) et sur la légitimité du Président Paul Biya. À travers des analyses biaisées et des rumeurs savamment orchestrées, ces organes de presse s’emploient à présenter une image d’un parti divisé et d’un chef d’État affaibli, dans le seul but de fragiliser la stabilité politique du Cameroun.

Selon ces médias, surtout Jeune Afrique certains cadres du RDPC auraient « boudé » la cérémonie de proclamation des résultats, mettant en doute la réélection du Président Paul Biya. Une information dénuée de fondement, relayée sans preuve, mais présentée comme un signe d’effritement du soutien interne au sein du parti au pouvoir. En réalité, cette manière de communication s’inscrit dans une logique d’intoxication visant à influencer l’opinion publique camerounaise et internationale.

Le schéma est désormais bien connu. Il s’agit de décrédibiliser les institutions nationales, présenter le pouvoir comme isolé, et suggérer une contestation interne pour préparer les esprits à l’idée d’un « changement nécessaire » dicté de l’extérieur. Cette stratégie, déjà utilisée dans d’autres pays africains, repose sur une manipulation subtile de l’information, où les médias deviennent des instruments de déstabilisation au service d’intérêts géopolitiques.

Le RDPC, fort de son expérience et de son enracinement populaire, reste pourtant un parti soudé autour de son président national, Paul Biya. Malgré la diversité des opinions en son sein, l’unité du parti n’a jamais été remise en cause. Les cadres et militants demeurent conscients que la stabilité du Cameroun passe par la cohésion et la vigilance face aux tentatives d’ingérence étrangères.

Il est regrettable que des médias, censés informer avec objectivité, se prêtent à des jeux politiques visant à affaiblir un État souverain. Le Cameroun, comme tout pays indépendant, a le droit de choisir librement ses dirigeants et ses orientations sans subir de pression extérieure. Le peuple camerounais, quant à lui, reste lucide face à ces campagnes de désinformation qui cherchent à opposer les Camerounais à leurs propres institutions.

Face à cette offensive médiatique, la meilleure réponse demeure la solidarité nationale et la défense de la souveraineté du Cameroun, car aucune manipulation ne saurait ébranler un peuple uni et conscient de ses intérêts.

Amen K.

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