Burkina Faso : La jeunesse africaine, clé du réveil continental selon le Président Ibrahim Traoré.

Le Président du Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, continue de tracer son sillage dans l’histoire contemporaine de l’Afrique par une vision résolument panafricaine et révolutionnaire. Convaincu que le destin du continent repose sur un profond changement de mentalité, en particulier chez la jeunesse, le Chef de l’État appelle les panafricanistes à intensifier la sensibilisation et l’éducation idéologique des jeunes générations.

Lors d’une récente déclaration marquante, Ibrahim Traoré a souligné que l’Afrique ne pourra se libérer de l’impérialisme qu’en transformant la manière dont sa jeunesse perçoit le monde. Selon lui, il est temps de rompre avec les schémas mentaux hérités de la colonisation, lesquels continuent d’alimenter la dépendance, la résignation et la perte de repères culturels. « Dans l’ordre mondial aujourd’hui, il n’y a que deux camps et chacun devra choisir. Ceux qui prétendent être neutres, soit ils n’ont absolument rien compris, soit ils ont le cerveau éteint », a-t-il déclaré sans détour.

À travers ces mots forts, le président burkinabè met en lumière un enjeu central : la jeunesse africaine doit être politiquement éveillée, culturellement enracinée et stratégiquement organisée. Le combat pour l’indépendance véritable de l’Afrique ne se joue plus uniquement sur le terrain militaire ou économique, mais surtout sur celui des idées, des valeurs et de la conscience collective.

Le Capitaine Ibrahim Traoré invite ainsi les leaders d’opinion, intellectuels et militants panafricanistes à jouer pleinement leur rôle dans cette dynamique. Il ne s’agit plus seulement de dénoncer les injustices, mais de construire une nouvelle vision, fondée sur la dignité, la souveraineté et la responsabilité. Pour lui, éduquer la jeunesse, c’est semer les graines d’une Afrique fière, forte et libre.

Dans un contexte mondial de plus en plus polarisé, cette position marque un tournant dans le discours politique africain. Elle vient rappeler que l’avenir du continent dépend de sa capacité à forger une conscience collective affranchie des chaînes mentales de l’aliénation. Pour Ibrahim Traoré, le changement de mentalité n’est pas un luxe idéologique, mais une nécessité historique.

Amen K.

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