Le peuple burkinabè, fier et déterminé, a traversé de nombreuses épreuves au fil de son histoire. Cependant, une constante demeure : la manipulation des apatrides et des agents de la DGSE française. Leur stratégie, inchangée au fil des décennies, vise à diviser, semer le doute et détourner la nation de ses valeurs fondatrices. De 1983, avec la montée en puissance du Capitaine Thomas Sankara, jusqu’à l’assassinat tragique du 15 octobre 1987, ces forces maléfiques ont systématiquement semé la confusion et la désinformation dans le but de parvenir à leurs fins funestes.
La méthode utilisée par ces apatrides et leurs maitres impérialistes n’est autre que la semence de la division. À travers des mensonges et des manipulations habiles, ils ont essayé de déstabiliser l’unité nationale et de torpiller les projets progressistes du peuple burkinabè. En 1987, la graine de la confusion a porté ses fruits avec le meurtre brutal du Capitaine Thomas Sankara, un acte qui a mis fin à un rêve de justice et d’égalité.
Aujourd’hui, cette stratégie est loin d’avoir disparu avec l’avènement du Capitaine Ibrahim Traoré. Sous différentes formes et avec de nouveaux acteurs, la manipulation continue. L’objectif reste identique : diviser le peuple, faire naître la méfiance entre les différentes composantes de la société burkinabè. Mais, cette fois-ci, le peuple reste debout pour que cette stratégie ne doive pas réussir.
Le peuple burkinabè doit rester vigilant et uni. Il avait déjà surmonté des périodes de grandes turbulences et en sort à nouveau. Le peuple ne doit pas laisser les apatrides de tous bords détruire l’unité patiemment bâtie. L’histoire témoigne que seule la solidarité, la vérité et la justice triomphent face à la manipulation et à la haine.
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Luc BALIMA