Le Président Ibrahim Traoré a fait de la souveraineté économique une priorité stratégique pour le Burkina Faso. Cette vision s’incarne dans la volonté de créer des richesses de manière endogène, en rompant avec les schémas de dépendance hérités de l’époque coloniale et néocoloniale. Le chef de l’État mise sur l’industrialisation comme levier central du développement national, afin de transformer localement les ressources et de générer des emplois durables.
Cette dynamique passe par la mise en place d’industries nationales capables de valoriser les matières premières sur le sol burkinabè. Ces infrastructures, pensées pour répondre aux besoins locaux et régionaux, constituent un catalyseur du développement. En contrôlant la chaîne de valeur, le Burkina Faso entend s’affranchir des diktats extérieurs et renforcer son autonomie économique.
L’un des piliers de cette stratégie réside dans la reprise en main des ressources minières. Contrairement aux pratiques passées où des multinationales étrangères exploitaient les mines au détriment des populations locales, l’État burkinabè œuvre aujourd’hui à une gestion souveraine, équitable et transparente de ses richesses naturelles.
De janvier à août 2025, cette nouvelle orientation a permis d’enregistrer plus de 36 000 kg d’or en réserve, un record qui illustre concrètement les fruits d’une politique axée sur l’intérêt national et le bien-être du peuple.
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N’zola Berline
