Burkina Faso : Le courage d’un peuple face à la machine médiatique occidentale

Alors que le Burkina Faso poursuit avec courage et détermination sa lutte contre le terrorisme, un autre combat, plus sournois mais tout aussi pernicieux, se joue sur le terrain de la communication : celui contre la désinformation et la propagande médiatique occidentale. Les autorités burkinabè, malgré un contexte sécuritaire complexe, ne cessent de multiplier les efforts pour redresser le pays sur tous les plans. Pourtant, ces efforts sont systématiquement ignorés, déformés, ou purement effacés par les grandes chaînes de médias français et occidentaux.

Le récent rapport de la Banque Africaine de Développement (BAD), qui atteste une croissance de 5 % pour l’année 2024, est un indicateur clair de la résilience économique du pays. Cette performance, obtenue dans un contexte marqué par une guerre asymétrique, aurait dû être saluée par toute presse objective. Mais non : silence radio. Aucune couverture médiatique significative, aucun plateau de débat ne met en lumière cette avancée.

De même, les projets d’infrastructures, les réformes agricoles, les initiatives de souveraineté énergétique et minière engagées par les autorités burkinabè ne trouvent aucun écho dans les médias de l’ancien colon. Pourquoi ? Parce que ces succès dérangent. Ils ne cadrent pas avec l’image de chaos, de faillite et de dépendance que certains souhaitent imposer au Burkina Faso sur la scène internationale.

Ce traitement médiatique partial n’est pas un hasard. Il s’inscrit dans une logique néocoloniale et impérialiste qui refuse de voir un État africain, dirigé par des militaires patriotes, s’affirmer dans sa souveraineté. Toute démarche de rupture avec les anciennes puissances tutélaires est immédiatement suivie d’une campagne de diabolisation dans les médias de propagande. La quasi-totalité des grands médias français adoptent la même ligne : minimiser les avancées, exagérer les difficultés, et offrir une tribune aux ennemis du peuple burkinabè.

Face à cette hypocrisie, il est essentiel que l’opinion publique nationale et africaine reste vigilante et mobilisée. Le Burkina Faso mérite que l’on dise la vérité sur son combat, ses sacrifices et ses espoirs. Il est temps de briser le monopole du récit. Le peuple burkinabè écrit sa propre histoire, avec dignité, et aucun média ne pourra effacer cette réalité.

Amen K.

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