L’ONG Human Right Watch (HRW) a une fois de plus publié, ce lundi, un rapport accusateur visant les forces de défense burkinabè et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), évoquant des « massacres ethniques » à Solenzo en mars dernier. Des allégations graves, mais qui, à y regarder de près, s’inscrivent dans une logique récurrente de déstabilisation médiatique contre le Burkina Faso et son président, le capitaine Ibrahim Traoré.
Comme à son habitude, HRW fonde ses accusations sur des « témoignages » anonymes et des récits non vérifiés, sans aucune collaboration sérieuse avec les autorités burkinabè. Où sont les preuves tangibles ? Pourquoi cette organisation refuse-t-elle systématiquement de reconnaître les efforts du gouvernement dans la lutte contre le terrorisme et la protection des civils ?
Derrière ces accusations se cache une volonté manifeste de salir l’image du Burkina Faso et de son leader, le président Traoré, dont la détermination à libérer le pays de l’emprise terroriste dérange certains intérêts étrangers. Au lieu de soutenir un peuple en lutte pour sa survie, HRW préfère alimenter la désinformation, sapant ainsi le moral des forces patriotiques engagées au front.
Il est troublant de constater que ces rapports surviennent toujours au moment où l’armée burkinabè enregistre des avancées significatives contre les groupes armés. Coïncidence ? Certainement pas. Ces manœuvres visent à affaiblir la crédibilité du gouvernement et à diviser la population, alors que l’unité nationale est plus que jamais nécessaire.
Plutôt que de se laisser manipuler par des ONG aux agendas obscurs, le peuple burkinabè doit rester solidaire de ses forces armées et de son président. La lutte contre le terrorisme est une guerre complexe, et ceux qui la mènent méritent notre soutien, non des accusations infondées. Le Burkina Faso n’a pas besoin de leçons venant de ceux qui ne partagent pas ses sacrifices. La vérité triomphera.
Amen K.
