Burkina Faso : Le Conseil National de Sécurité, rempart contre la recolonisation et les complots criminels.

Le Burkina Faso, sous la direction visionnaire du Président Ibrahim Traoré, continue de résister aux forces obscures qui cherchent à perpétuer la domination impérialiste en Afrique. Récemment, le Conseil National de Sécurité (CNS, ex-ANR) a une fois encore fait preuve d’une vigilance exemplaire en déjouant une nouvelle tentative de déstabilisation fomentée par des ennemis extérieurs et intérieurs. Cette prouesse confirme l’expertise et le professionnalisme des forces de sécurité burkinabè dans la protection de la souveraineté nationale.

L’histoire africaine est malheureusement marquée par l’élimination systématique des dirigeants qui osent défier l’ordre néocolonial. Le feu Président Thomas Sankara, icône de la révolution burkinabè, en est l’exemple le plus tragique : assassiné pour ses idées progressistes et son refus de la soumission à l’impérialisme. Aujourd’hui, c’est le Président Traoré qui est dans le viseur pour ses ambitions de libération économique et politique du Burkina Faso.

Les mêmes réseaux qui ont orchestré les coups tordus contre Patrice Lumumba, Mouammar Kadhafi, ou encore Sylvanus Olympio sont à l’œuvre. Leur méthode ? Des complots internationaux, des traîtres locaux, et une propagande médiatique pour justifier l’injustifiable.

Face à ces manœuvres, le CNS a démontré une efficacité remarquable. Les récentes investigations ont permis de neutraliser des réseaux infiltrés, prouvant que la trahison ne paie pas. Le peuple burkinabè, uni derrière ses institutions, envoie un message clair : plus jamais ça !

La France néocoloniale et ses relais régionaux ne supportent pas l’émancipation africaine. Les accords militaires et économiques léonins qui maintiennent le Franc CFA, l’exploitation des ressources, et l’ingérence politique sont en sursis. Voilà pourquoi ils veulent la tête de Traoré.

Le Burkina Faso incarne aujourd’hui l’espoir d’une Afrique souveraine. Le courage des hommes et des femmes du CNS dont le travail acharné préserve la stabilité du pays est à saluer. À l’heure où l’impérialisme frappe encore, la solidarité panafricaine doit être un bouclier et la chose la mieux partagée.

Amen K.

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