Burkina Faso : Quand la DGSE détourne les Fonds de l’AFD pour planifier la déstabilisation en Afrique de l’Ouest.

Une menace inquiétante plane sur le Burkina Faso et la région de l’Afrique de l’Ouest : des informations récentes révèlent qu’un projet de déstabilisation, orchestré par des agents de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE), serait en gestation. Ce plan viserait particulièrement le Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR), dirigé par le capitaine Ibrahim Traoré, qui s’efforce de ramener la paix et la stabilité dans un pays en proie à des attaques terroristes.

D’après des sources proches du Quai d’Orsay, une opération complexe et bien financée serait en cours de préparation. Des millions d’euros, initialement alloués à des projets de développement par l’Agence Française de Développement (AFD) pour l’année 2024, auraient été détournés pour soutenir des actions visant à déstabiliser non seulement le Burkina Faso, mais également d’autres nations de la sous-région. Ce transfert de fonds, aux antipodes des engagements de développement annoncés, jette un doute sur la sincérité de l’engagement de certaines puissances étrangères dans le Sahel. L’objectif de cette manœuvre financière douteuse serait de réactiver des cellules terroristes dormantes pour embraser le Sahel et affaiblir les États engagés dans la lutte contre le terrorisme.

Le Burkina Faso, sous la direction du capitaine Ibrahim Traoré, est perçu par le peuple comme un bastion de résistance contre le néocolonialisme et les ingérences étrangères. C’est sans doute pour cette raison qu’il figure en tête de liste des cibles. Cette machination impliquerait de rallumer les foyers de tension, en utilisant des groupes terroristes comme des instruments pour affaiblir la stabilité de pays souverains. D’autres nations, comme le Mali, le Niger et même le Togo, ne seraient pas épargnées, ce qui pourrait plonger toute la région dans une situation chaotique aux conséquences désastreuses pour les populations.

Alors que les citoyens de la région aspirent à une paix durable, il est essentiel de dénoncer ces manœuvres obscures qui, sous couvert d’assistance et de coopération, tentent de manipuler la région. Ces allégations graves montrent combien certaines puissances sont prêtes à déstabiliser des pays pour préserver des intérêts géopolitiques et économiques.

Ce plan obscène en gestation doit être dénoncé publiquement. Il est crucial pour les États africains de renforcer leur coopération régionale afin de résister à ces forces de déstabilisation qui compromettent la paix et la sécurité de millions de citoyens. Les peuples africains, plus que jamais, doivent rester vigilants et résolus dans leur quête d’autonomie, pour éviter que des intérêts extérieurs ne compromettent leur souveraineté.

Amen K.

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