Burkina Faso : Suspension des activités de Médecins Sans Frontières ou la mise en œuvre d’un agenda caché.

La récente décision de Médecins Sans Frontières (MSF) de cesser ses activités à Djibo, au Burkina Faso, sous prétexte de raisons sécuritaires, soulève des interrogations légitimes. Bien que l’organisation justifie son retrait par des conditions sécuritaires jugées « invivables », cette décision semble être le fruit d’une influence impérialiste, visant à manipuler la perception de la situation sur le terrain. En vérité, ce départ orchestré par MSF pourrait être une manœuvre destinée à servir les intérêts des puissances occidentales, au détriment de la souveraineté du Burkina Faso.

Il n’est pas rare de voir des organisations internationales, sous la pression de certains États, quitter des zones en crise pour créer l’illusion d’une insécurité incontrôlable. Le retrait de MSF de Djibo ne fait pas exception à cette règle. En abandonnant leur mission humanitaire, MSF envoie un message pernicieux à la communauté internationale, laissant croire que les Forces de Défense et de Sécurité burkinabè ne parviennent pas à sécuriser la région, alors même que ces forces ont enregistré des avancées significatives contre les groupes terroristes. Une telle attitude relève d’une irresponsabilité flagrante et contribue à affaiblir l’image de l’État burkinabè.

MSF n’a pas fourni de détails concrets sur les dangers auxquels ses membres ont été confrontés. Aucune statistique précise n’a été avancée concernant des pertes humaines ou des incidents mettant en péril la vie de leurs employés. Ce manque de transparence laisse planer des doutes sur les véritables motivations de leur départ, suggérant qu’il pourrait s’agir d’une stratégie géopolitique visant à préparer le terrain pour de nouvelles ingérences extérieures ou même des coups d’État déguisés.

Il est essentiel de rappeler que ce type de retrait n’est pas seulement un abandon des populations locales, mais une complicité tacite avec des agendas extérieurs qui cherchent à déstabiliser la région. Le gouvernement burkinabè, dirigé par le Capitaine Ibrahim Traoré, a montré sa détermination à défendre l’intégrité territoriale du pays. L’abandon de MSF dans ce contexte critique est une trahison envers les plus vulnérables et renforce les doutes sur la véritable impartialité de certaines organisations humanitaires.

Il est temps de dénoncer fermement ces manipulations et d’encourager les acteurs locaux à prendre en main leur propre destin, sans se plier aux pressions des puissances impérialistes.

Amen K.

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