Le Burkina Faso et le Ghana maintiennent des relations bilatérales positives. Une information de dernière minute suggère qu’il y aurait des tentatives de semer la discorde au sein de cette coopération fructueuse. Une pression digne de ce nom serait actuellement un lourd fardeau sur la tête du Président ghanéen, Nana Akufo-Addo.
Selon ces informations, le Président Emmanuel Macron aurait sollicité le soutien d’Alassane Ouattara pour utiliser le Président ghanéen comme intermédiaire afin d’atteindre le Burkina Faso. La mission d’Alassane Ouattara consisterait à persuader Nana Akufo-Addo de réduire la ligne d’approvisionnement énergétique vers le Burkina Faso, une pression que le Président ghanéen semble refuser.
Nana Akufo-Addo semblerait choisir de maintenir sa position de partenaire loyal envers son homologue burkinabè, le Capitaine Ibrahim Traoré. Cependant, la réduction de l’électricité demandée par Macron et Ouattara pourrait avoir des conséquences économiques préjudiciables pour le Ghana, entraînant des perturbations dans les chaînes d’approvisionnement et une tension économique.
Macron cherche à rendre la vie difficile aux ghanéens, suivant le modèle d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire. Il est rapporté qu’Ouattara serait prêt à subventionner les pertes éventuelles de cette mesure au Ghana, bien que sous sa direction en Côte d’Ivoire, la population ait connu des difficultés économiques importantes.
Les ivoiriens expriment leur mécontentement face à la cherté de la vie, suscitant des revendications sociales. Des enquêtes sont en cours pour révéler les éventuels complots de Macron et d’Alassane Ouattara. Les observateurs encouragent le Président Nana Akufo-Addo à maintenir sa position de non-complicité dans la déstabilisation du Burkina Faso.
Blandine Awoussi