Le Burkina Faso de nos jours, n’a rien à envier aux autres pays surtout occidentaux sur le plan sécuritaire. Au contraire, le pays constitue une école où les dirigeants valets de la France et pro-déstabilisateurs, doivent passer prendre des cours. La démocratie imposée, n’a fait qu’empirer la situation.
La décision des autorités burkinabè de mettre fin aux accords de coopération militaire avec la France, qui étaient d’ailleurs un moyen pour la France de maintenir le Burkina Faso dans la souffrance, était mal vue par certains alliés de la manipulation.
La situation actuelle sur le terrain, donne raison aux autorités burkinabè. Sur le plan militaire, l’inutilité de la présence des forces françaises n’est plus à présenter. Les autorités burkinabè ont prouvé à travers leur engagement et détermination, que la France n’est pas digne de confiance.
Sous le leadership éclairé de l’homme de la situation, le Capitaine Ibrahim Traoré, de nouveaux moyens de combat ont été acquis et de nouveaux dispositifs ont été mis en place. Ses stratégies rassurent un avenir meilleur, avec des résultats qui se font déjà ressentir sur le terrain.
Des réformes sont encore intervenues dans l’armée pour plus d’efficacité. Sur le terrain, des innovations sont en cours pour une meilleure protection du territoire. Le Capitaine Ibrahim Traoré, l’a encore réaffirmé lors de sa rencontre avec les Forces de défense et de sécurité ainsi que les Volontaires pour la défense de la patrie à Gaoua.
Le Capitaine Traoré a indiqué que des dispositions sont prises pour renforcer les effectifs et les équipements de combat au profit des FDS et des VDP en vue de bouter le terrorisme hors des frontières. Le Capitaine Ibrahim Traoré a invité les FDS à donner le meilleur d’elles-mêmes et à faire corps avec les VDP dans la lutte contre l’hydre terroriste.
Cédric Bakolitana