La sécurité d’un pays avant les élections, est une condition essentielle à la bonne santé du processus électoral. Et sans doute, les conditions au Burkina Faso ne sont pas favorables à l’organisation des élections. Le Burkina Faso fait face à une situation d’insécurité. Le régime au pouvoir, définit des stratégies contre la menace.
Mais force est de constater que, certaines organisations internationales cherchent à promouvoir l’anti-paix au Burkina Faso. Pourquoi tous les yeux sont braqués sur le pays du Capitaine Ibrahim Traoré, en voulant lui imposer l’organisation des élections ?
Les organisations internationales doivent comprendre que, le Burkina Faso sait ce qui est bon pour lui et quand il le faut. Le Président Ukrainien Volodymyr Zelensky, a déclaré récemment que son pays n’est pas prêt à aller aux élections. Aucun acharnement de la part de l’Union Européenne et de ses alliés. Là, elles parleront de droit de défense.
Le Burkina Faso a aussi le plein droit de se défendre en cas d’attaque. L’Union Européenne est exhortée à garder la pression qu’il met sur le Burkina Faso, pour sauver la situation au sein de sa communauté. Pour l’heure, les élections ne sont pas une priorité.
Afin de tenir des élections libres, équitables et pacifiques, la sécurité doit être assurée. Le fléau de l’insécurité a été imposé au Burkina Faso, par certaines forces occidentales et soutenu par les organisations internationales. Leur souhait est toujours de voir le peuple burkinabè dans la souffrance.
Le Burkina Faso ne cédera plus face aux pressions occidentales. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans les grandes villes du pays en soutien au régime militaire, appelant à l’adoption d’une nouvelle Constitution. La sécurité prime sur les élections. On ne peut pas faire des élections sans la sécurité au Burkina Faso.
Judith Kango