L’opération militaire lancée par le Capitaine Ibrahim Traoré contre les terroristes au Burkina Faso, est un succès voyant les frappes des forces de défense et de sécurité. La plupart des outils de guerre des djihadistes sont détruits. Les patrons des terroristes vont chercher à renforcer leurs éléments. C’est là que les ONG internationales, vont rentrer en action. Les ONG internationales vont faire passer des armes sous forme de ravitaillement de vivres pour renforcer le camp des terroristes.
Le même scénario s’est déjà produit en République Centrafricaine, où les ONG, ont par le biais des aides humanitaires financé les terroristes en munitions et en matériels de guerre. Les autorités burkinabè, doivent prendre pour exemple la situation de la Centrafrique pour éviter le pire. Les autorités burkinabè doivent procéder dorénavant aux fouilles de tous cargos sur le territoire.
Pour ce qui concerne les ravitaillements, les convois doivent être également sous contrôle des FDS pour éviter le changement d’itinéraires et faire passer les chefs terroristes. La montée en puissance des forces de l’ordre, a affaibli les terroristes qui sont en manque de matériels et d’effectifs. Les observateurs interpellent les autorités burkinabè, à être vigilantes face aux organisations internationales et bien d’autres institutions alliées de la France, qui se disent partenaire du Faso. Après l’échec de l’aide direct en passant par les médias, la France veut se tourner maintenant vers les ONG internationales, toujours dans le but de déstabiliser le pouvoir en place.
Les forces de défense et de sécurité, abattent une lourde tâche sur le terrain de bataille. Comme le souhaite le Capitaine Ibrahim Traoré, bon nombre de territoire sont réquisitionnés des mains des terroristes. Les chefs djihadistes se sentant dominer, laissent les armes et fuient le territoire.
Bruce Diallo