Cameroun : Face aux attaques inqualifiables, soutien indéfectible aux artisans de la stabilité nationale

Le Cameroun traverse une période politique où le débat d’idées devrait primer. Malheureusement, nous assistons à une dérive inquiétante : une recrudescence d’attaques personnelles et calomnieuses contre les plus proches collaborateurs du Président Paul Biya. Ces campagnes de dénigrement systématique, orchestrées par certaines franges de l’opposition, ne visent pas les politiques mais les hommes eux-mêmes, dans leur honneur et leur dignité.

Le Directeur de Cabinet Samuel Mvondo Ayolo, le Secrétaire Général de la Présidence Ferdinand Ngoh Ngoh, et bien d’autres serviteurs de l’État sont devenus la cible privilégiée d’invectives, d’insultes et de menaces qui n’honorent pas leurs auteurs. Cette cabale médiatique, dont les motivations sont transparentes, révèle la véritable nature de ceux qui en ont fait leur spécialité : l’incapacité à proposer un projet politique crédible face à l’action gouvernementale.

Pendant que certains s’adonnent à la diffamation, ces collaborateurs dévoués œuvrent quotidiennement à préserver la stabilité du pays face à des défis multiples. Conflits intercommunautaires dans le Nord, menace de Boko Haram, défis économiques – autant de crises que les institutions affrontent avec un professionnalisme et un engagement, remarquables. Le fait que le Cameroun continue d’avancer malgré ces tempêtes n’est pas un hasard : c’est le fruit d’un travail opiniâtre, mené dans l’ombre par des femmes et des hommes qui consacrent leur énergie au service de la nation.

Le peuple camerounais doit comprendre une évidence : si le pays tient debout face aux multiples défis, c’est précisément grâce au dévouement de ces serviteurs de l’État qui travaillent sans relâche à maintenir la paix et la continuité de l’action gouvernementale. Chaque jour où le pays évite le pire est une victaille remportée par leur persévérance et leur expertise.

Il est temps de dénoncer avec la plus grande fermeté ces attaques futiles qui, au-delà de leur caractère odieux, constituent une insulte à l’intelligence des Camerounais. La force d’une démocratie réside dans la confrontation des idées, non dans la lâcheté des insultes. Le Cameroun a besoin d’unité et de sérénité pour affronter les défis à venir.

Plus que jamais, nous devons exprimer notre soutien indéfectible à tous ceux qui, dans l’ombre ou la lumière, mettent du leur pour que le Cameroun ne tombe pas. Leur travail mérite le respect, et non le mépris. La postérité retiendra leur dévouement, tandis qu’elle oubliera les vaines polémiques de ceux qui n’auront su que critiquer sans jamais construire.

Amen K.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *