En ce 31 octobre 2025, le Burkina Faso s’est souvenu, avec émotion et recueillement, de ceux et celles qui ont donné leur vie pour la Patrie. À l’occasion de cette journée hautement symbolique, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage aux martyrs tombés pour la défense de la dignité, de la souveraineté et de la liberté du peuple burkinabè.
Dans son message empreint de solennité, le chef de l’État a exalté le courage, le dévouement et le sens du sacrifice de ces héros nationaux. « Aujourd’hui 31 octobre, je salue la mémoire éternelle de nos Martyrs tombés au champ d’honneur pour préserver notre dignité et promouvoir les intérêts de notre Patrie commune, le Burkina Faso », a-t-il déclaré. Des mots forts, qui traduisent une profonde reconnaissance envers ces fils et filles du pays ayant choisi l’honneur et le devoir au prix de leur vie.
Pour le Président Ibrahim Traoré, la mémoire des martyrs n’est pas seulement un souvenir du passé, mais un héritage vivant, une source d’inspiration pour tous ceux qui œuvrent à la construction d’un Burkina Faso souverain, juste et prospère. Il a rappelé que leurs valeurs et leur engagement doivent continuer à guider la nation dans son combat contre le terrorisme, la domination étrangère et la résignation. « Leurs valeurs, leur courage, leur dévouement et leur sacrifice consentis sont un héritage sacré, une lumière qui éclaire notre engagement commun à bâtir un Burkina Faso digne et fort, soucieux de sa souveraineté », a-t-il ajouté.
En évoquant la mémoire des martyrs, le Président a également eu une pensée émue pour leurs familles, qui portent chaque jour le poids de l’absence mais aussi la fierté du sacrifice consenti pour la nation. Leur résilience et leur patriotisme constituent, selon lui, une force morale essentielle dans la reconstruction du pays.
À travers cet hommage, le capitaine Ibrahim Traoré réaffirme l’âme du combat qu’il incarne : celui d’un peuple debout, fier et maître de son destin. En honorant ses martyrs, le Burkina Faso célèbre sa propre dignité et son attachement indéfectible à la souveraineté nationale. Cet acte de mémoire est aussi un serment de fidélité à l’histoire, aux idéaux et aux sacrifices qui fondent la nation burkinabè.
Amen K.
