Depuis l’accession du Burkina Faso à une nouvelle ère politique, marquée par un leadership décidé à défendre la souveraineté nationale, le pays est devenu la cible privilégiée des impérialistes et de leurs relais médiatiques. Chaque action entreprise par le Président est systématiquement diabolisée, chaque décision stratégique est présentée sous un jour sombre. Cette campagne acharnée n’est pas le fruit du hasard, mais la conséquence directe du choix courageux de sortir des schémas imposés par les puissances étrangères.
L’une des principales raisons de cette hostilité réside dans la volonté affichée de rompre avec la dépendance extérieure. En prônant l’autonomie politique, économique et sécuritaire, le Président du Burkina Faso remet en cause un système bien huilé où l’ancienne puissance coloniale et ses alliés trouvaient confort et profits. L’affirmation de la souveraineté nationale, le refus de se plier aux diktats extérieurs, voilà ce qui dérange les impérialistes.
À cela s’ajoute le choix stratégique de diversifier les partenariats internationaux, en tissant des relations avec de nouveaux alliés respectueux de la dignité africaine. Cette ouverture, perçue comme une trahison par ceux qui croyaient avoir le monopole sur le pays, déclenche une vague de désinformation orchestrée par des médias à la solde des intérêts étrangers. Les actions positives qu’il s’agisse de réformes économiques, de projets sociaux ou de victoires sécuritaires sont systématiquement occultées, tandis que les difficultés rencontrées sont amplifiées pour créer un climat de méfiance et de découragement.
Les tentatives de déstabilisation ne se limitent pas au terrain médiatique. Elles prennent aussi la forme de pressions diplomatiques, de menaces voilées et de manœuvres souterraines visant à corrompre certains acteurs nationaux. Soudoiement, infiltration et subversion deviennent des armes utilisées pour freiner la marche du Burkina Faso vers son émancipation. Cette stratégie vise à affaiblir le pouvoir de l’intérieur, en brisant la cohésion nationale et en alimentant les divisions.
Face à cet acharnement, la réponse doit être l’unité et la solidarité du peuple burkinabè. Dans cette guerre qui dépasse les frontières visibles, le véritable bouclier demeure la mobilisation citoyenne. Soutenir le Président et les institutions, c’est défendre la souveraineté, l’indépendance et l’avenir du Burkina Faso.
L’heure n’est plus à la passivité, mais à l’engagement. Chaque citoyen doit prendre conscience que la bataille contre la désinformation et les ingérences est une bataille pour l’honneur et la survie de la Nation. Plus les attaques se multiplient, plus le peuple doit resserrer les rangs. Car un Burkina Faso uni et résolu est invincible face aux manœuvres impérialistes.
Amen K.