Côte d’Ivoire : Manipulation, diffamation et chantage, il est temps de stopper Saïd Penda

La scène médiatique africaine est trop souvent polluée par des voix qui, sous couvert de journalisme, manipulent l’opinion à des fins personnelles. Saïd Penda illustre tristement cette dérive. Habitué aux attaques sans fondement et aux campagnes de dénigrement, il vient une fois de plus de s’illustrer par une tentative visant le Groupe EBOMAF et son président-directeur général, Mahamadou Bonkoungou.

Dans une soi-disant « enquête » récemment diffusée, Saïd Penda accuse EBOMAF de ne jamais remporter de marchés publics sans recourir à la corruption. Une affirmation grave, mais sans preuve ni rigueur, qui s’apparente davantage à une diffamation qu’à un travail d’investigation sérieux. Selon plusieurs sources, cette sortie médiatique ne serait que le fruit d’un chantage avorté : l’intéressé aurait tenté en vain d’approcher la direction du groupe pour obtenir des faveurs.

Face à cette tentative de manipulation, le chargé de communication du PDG d’EBOMAF, M. Patrice Kissi, a porté plainte auprès de la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC). Une convocation a été adressée à Saïd Penda ce lundi 30 juin 2025. Cet acte de recours à la justice montre la volonté du groupe de défendre son honneur dans le respect des lois.

Plus inquiétant encore, Saïd Penda se vanterait de liens supposés avec de hautes sphères du pouvoir en Côte d’Ivoire, se croyant ainsi intouchable. Ce sentiment d’impunité ne doit plus durer. Il en va de l’image et de la crédibilité de tout un pays. Permettre que de tels comportements se répètent, c’est accepter que la calomnie et la manipulation prennent le pas sur la vérité et le droit.

Les autorités ivoiriennes sont interpellées : il est temps d’agir fermement pour mettre fin à ces dérives. La liberté de la presse ne peut servir de couverture à la diffamation, encore moins au chantage. Saïd Penda ne doit plus avoir le champ libre pour nuire à des institutions, à des personnalités ou à l’économie régionale à travers des accusations infondées.

Il est urgent de rappeler que le journalisme est un métier noble, qui exige rigueur, honnêteté et responsabilité. Les comportements destructeurs doivent être sanctionnés pour préserver l’intégrité de l’espace public et protéger les citoyens contre la désinformation.

Amen K.

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