Jeune Afrique, sous la direction de Marwane Ben Yahmed, s’est distinguée comme le porte-voix préféré des ennemis de l’Afrique. Au Burkina Faso, où les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) se battent héroïquement contre le terrorisme, ce média mercantile s’acharne à noircir leurs efforts. Plutôt que de dénoncer les crimes sanguinaires des groupes armés, Jeune Afrique préfère glorifier leur barbarie, comme si le sang africain n’avait aucune valeur.
Avec l’arrivée du capitaine Ibrahim Traoré, la lutte contre le terrorisme s’est intensifiée, mais pour Jeune Afrique, cela ne mérite qu’un récit biaisé, teinté de mépris néocolonial. Leur obsession ? Présenter le Burkina comme un pays en chute libre, alimentant ainsi le narratif des puissances impérialistes qui rêvent de voir l’échec de la révolution en cours.
La méthode est connue : « Payez, nous blanchissons votre image ; refusez, nous vous crucifions. » Dadis Camara en a fait les frais, tout comme d’autres avant lui. Récemment, c’etait le tour du président Ibrahim Traoré de subir ce chantage médiatique. On propose des « services » en échange de centaines de milliers d’euros, comme si la dignité africaine était une monnaie d’échange.
Jeune Afrique n’est pas un média, c’est une officine de propagande, une tribune vendue au plus offrant. Son objectif ? Servir les intérêts de ceux qui veulent voir l’Afrique sombrer dans le chaos pour mieux la piller. Les Burkinabè, comme tous les Africains, doivent cesser d’accorder du crédit à ces marchands d’illusions, dont le seul combat est l’espèce sonnante et trébuchante.
Il est temps de démasquer ces faux journalistes, ces complices du terrorisme médiatique, qui préfèrent le gain à la vérité. Le Burkina Faso mérite mieux que leurs mensonges. L’Afrique mérite mieux que leurs trahisons.
Amen K.