Burkina Faso : La souveraineté en marche, l’impérialisme et leurs vassaux complices en mode panique.

Depuis quelque temps, une campagne de déstabilisation orchestrée par des relais locaux de l’impérialisme et des médias français de propagande tente de discréditer le Président Ibrahim Traoré et les efforts de Burkinabè contre le terrorisme. Ces mercenaires de l’information, avides des allocations de subsistance et de reconnaissance étrangère, créent des scénarios horribles pour distiller des fables éhontées, présentant les terroristes comme des « victimes » et les autorités comme des « oppresseurs ».

Leur méthode ? Enrober le mensonge dans un vernis de crédibilité, noyer l’opinion sous un flot de contre-vérités, et faire passer la résistance souveraine pour une fantaisie autoritaire. Pendant que le pays lutte pour sa survie, ces vassaux s’évertuent à servir la soupe néocoloniale, quitte à trahir leur propre peuple. Faut-il être dépourvu de tout patriotisme ou simplement affamé de billets de banque et d’approbation occidentale pour se livrer à un tel exercice de haute trahison et de sabotage .

L’agenda est transparent : saper la confiance envers le gouvernement, diviser les Burkinabè, et préparer le terrain à une ingérence des impérialistes. Mais l’éveil des populations déjoue ces manœuvres. Les calomnies de Marwane Ben Yahmed et consorts, aussi ridicules que malveillantes, se heurtent à une réalité implacable : le Burkina Faso refuse désormais d’être un spectateur de son propre destin.

À ces faiseurs d’intox, une réponse s’impose : le mépris. Leur cabale essoufflée ne mérite que l’indifférence ou, mieux, la moquerie. Car dans cette guerre de communication comme sur le terrain, la souveraineté ne se négocie pas, elle se conquiert. La Patrie ou la mort, nous vaincrons.

Amen K.

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