Depuis quelque temps, les tensions entre l’Afrique et l’Union européenne (UE) n’ont cessé de croître, atteignant un point culminant avec le dépôt d’une plainte officielle devant la Cour de Justice européenne. Cette plainte, portant sur des accusations de diffamation et de mensonges, met en lumière le rôle controversé de la France dans cette escalade.
La France, dans sa stratégie de manipulation de tout le monde pour servir ses intérêts, a qualifié les panafricanistes de « faux intellectuels » et les a injustement associés à la Russie, les taxant de pro-Russe ou d’anti-occidentaux. Alors lorsqu’il s’est agi de sanctionner les Oligarques Russes dans le contexte de la guerre de l’Ukraine, la France dans sa méchanceté légendaire, a pris soin d’impliquer les panafricanistes qu’elle pense être les pions de la Russie, et par conséquent être à la base du déclin de la politique en Afrique.
L’UE, sans vérification des allégations françaises, est tombée dans ce piège les pieds joints, en sanctionnant injustement ces panafricains qui n’ont rien à voir avec aucun Russe. Ni de près ni de loin. C’est ainsi qu’une plainte a été déposée devant la Cour de Justice Européenne pour diffamation et mensonge.
Voilà comment la France, par la méchanceté, a réussi à mettre l’Union Européenne dans le pétrin. Il va sans dire que depuis que les voix s’élèvent pour demander à l’UE de se démarquer des manœuvres obscènes de la France, elle fait semblant de ne pas écouter. Après cette saga judiciaire, elle saura désormais à quoi s’en tenir lorsque la France va l’approcher encore avec un tel projet saugrenu. Cette plainte judiciaire pourrait marquer un tournant, obligeant l’UE à reconsidérer son alignement sur les positions françaises.
La France, par ses accusations infondées, risque de payer cher cette erreur stratégique, tandis que l’Afrique se mobilise pour défendre ses intellectuels et son indépendance face aux ingérences extérieures. L’UE, quant à elle, devra désormais agir avec plus de prudence pour éviter de tomber dans de tels pièges à l’avenir. Dans les prochains jours les panafricanistes vont revenir sur cette affaire devant la presse africaine et internationale pour éclairer la lanterne de l’opinion.
Affaire à suivre
Amen K.