Ce jeudi 6 février 2025, le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a visité des sites de production agro-sylvopastorale dans la région du Centre-Nord, mettant en lumière une initiative phare du gouvernement du Président Ibrahim Traoré. Au secteur 6 de Kaya, le Chef du Gouvernement a salué le courage et la résilience des déplacés internes qui, aux côtés de leurs hôtes, exploitent un périmètre maraîcher de 3 hectares. Cette initiative illustre parfaitement la politique agricole du président Traoré, qui vise à la fois à intégrer les déplacés internes dans le tissu économique et à renforcer l’autosuffisance alimentaire du pays.
Depuis son accession au pouvoir, le Président Ibrahim Traoré a fait de l’agriculture un pilier central de sa stratégie de développement. Conscient des défis posés par les déplacements internes dus à l’insécurité, son gouvernement a mis en place des programmes visant à offrir des opportunités économiques aux populations vulnérables. Le projet de maraîchage à Kaya en est un exemple concret. En associant les déplacés internes à des activités agricoles productives, le gouvernement leur offre non seulement une source de revenus, mais aussi une chance de reconstruire leur vie dans la dignité.
Au-delà de l’aspect social, cette politique agricole s’inscrit dans une logique de souveraineté alimentaire. En développant des périmètres maraîchers et en soutenant les pratiques agro-sylvopastorales, le Burkina Faso réduit sa dépendance aux importations et renforce sa résilience face aux chocs climatiques et économiques. Le projet de Kaya, avec ses 3 hectares exploités de manière collaborative, est une preuve tangible que l’autosuffisance alimentaire est à portée de main lorsque les efforts sont collectifs et bien orientés.
La visite du Premier ministre à Kaya a mis en lumière les avancées significatives de la politique agricole du Président Ibrahim Traoré. En intégrant les déplacés internes dans des projets productifs et en visant l’autosuffisance alimentaire, cette politique incarne une double ambition : sociale et économique. Dans un contexte marqué par des défis multiples, elle offre une lueur d’espoir et un modèle à suivre pour un Burkina Faso plus résilient et solidaire.
Amen K.