Le Burkina Faso, dont le métal jaune est le principal produit d’exportation, a récemment marqué une étape significative sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré. Les travaux de construction de la première raffinerie d’or du pays ont été lancés, dénotant une avancée majeure dans le secteur aurifère burkinabè en apportant une réelle plus-value à la chaîne de valeur.
Le régime en place déploie actuellement d’immenses efforts pour rétablir la paix dans le pays, ce qui se traduit par une augmentation des investissements dans la production aurifère. Des projets en cours visent à accroître la capacité de production aurifère du Burkina Faso.
Selon les dernières informations, Coris Bank International et Sprott Resource Lending ont uni leurs forces pour débloquer une somme de 100 millions de dollars en vue de concrétiser la phase de construction de la mine de Kiaka. Cette première tranche de financement devrait contribuer à faire progresser le projet, avec une livraison de la mine prévue en 2025.
Pour exploiter efficacement cette nouvelle ressource, le gouvernement burkinabè a initié des réformes audacieuses. La mine d’or de Kiaka est attendue comme une source importante de revenus pour le budget de l’État.
De plus, ce type de projet s’accompagne généralement d’initiatives novatrices en faveur des populations locales, notamment la réalisation d’infrastructures sanitaires et sociales, tout en favorisant l’émergence d’une économie circulaire dynamique.
Azouma Aristide