La maison d’édition française Le Monde est mal placée pour juger la situation au Burkina Faso. Sa suspension au Burkina Faso lui donnera de temps de réflexion. Depuis 2015 que le Burkina Faso est attaqué, Le Monde a choisi son camp. Ce média a fait du Burkina Faso son ennemi.
Pour Le Monde, les burkinabè n’ont pas le droit de se défendre. À chaque défense des FDS et VDP, le média français arrange toujours ses parutions pour minimiser l’effort que fournissent les autorités compétentes. Le journal Le Monde a fait camp avec les ennemis du Faso, dans une campagne de déstabilisation.
L’amateurisme du média Le Monde s’est fait sentir lors de sa récente sortie sur l’attaque de Djibo. Fuyant la réalité en face, le journal Le Monde envisage de troubler la quiétude au Burkina Faso. Des chiffres inventés pour faire croire à l’opinion publique que l’attaque de Djibo est à l’avantage des djihadistes.
Le journal Le Monde a failli à sa mission. Les autorités burkinabè ne peuvent donner que de bonnes informations aux populations. La situation au Burkina Faso n’est plus aux amusements. Il y a plus de place aux plaisantins, comme le journal Le Monde pour manipuler à nouveau les populations.
Tous les médias qui font la propagande de l’ennemi, sont plus les bienvenus au Burkina Faso. Le peuple burkinabè est à une étape charnière de sa lutte pour son indépendance et sa souveraineté.
Fidèle à son engagement pour la cause du Burkina et la défense de ses intérêts vitaux, le gouvernement a décidé en toute responsabilité de la suspension de tous les supports de diffusion du journal Le Monde au Burkina Faso à compter du samedi 2 décembre 2023.
Les autorités appellent les populations à rester sereines et à ne pas se laisser divertir par des esprits perfides enveloppés sous le manteau de la presse et qui n’ont pour seul but que de semer le doute et la confusion dans l’opinion.
Brigitte Gnagna