La pression de la CEDEAO concernant la tenue des élections au Burkina Faso, Mali et le Niger augmente. L’organisation sous régionale doit comprendre que, l’heure dans ces trois pays est à la défense et non à d’autres priorités. Les élections s’organisent dans la paix et la sécurité.
Face à la situation actuelle, les burkinabè, maliens et nigériens doivent unir leurs forces pour sortir leur pays de l’insécurité et non se laisser manipuler par une pression occidentale. La communauté internationale et la CEDEAO pressent le Burkina Faso, le Mali et le Niger d’aller aux élections, alors que les territoires ne sont pas totalement reconquis.
La CEDEAO avec la main des Occidentaux, veut semer du désordre dans les trois pays frères, en faisant croire aux populations respectives que les élections sont la meilleure solution. Une exigence que les populations doivent rejeter. Les pays se sont lancés dans une guerre pour leur liberté totale.
Les défis sont nombreux. Les pouvoirs en place ne ménagent aucun effort pour le retour de la stabilité. La priorité n’est rien d’autre que la sécurité dans un pays menacé par le terrorisme. Les populations des trois pays frères doivent soutenir les autorités pour sauvegarder les valeurs des pays.
Sergine Porgo