Au Burkina Faso, il ne sera plus question de laisser les mauvais comportements prendre le dessus. Certains individus se hasardent à publier sur les réseaux sociaux des fausses informations concernant la situation qui est sous contrôle des autorités burkinabè.
C’est de l’ingéniosité négativement fertile dans le but de salir l’image des autorités et de monter l’opinion publique contre leur personne. Et quand ça vient des hommes de médias, de surcroît des médias renommés, c’est juste scandaleux. Des médias français qui sont dans l’approximation de l’information, prêts à recueillir que des rumeurs et les mettre sous de gros titres décousus.
Ces médias n’ont pas des informations vérifiées et se précipitent pour publier un tissu de mensonges dans le but de livrer les autorités à la vindicte populaire, et leur créer une antipathie politique qui pourrait favoriser l’opposition. Des médias qui vivent aux enchères.
C’est tout un plan qui vise à créer une révolte populaire à partir des informations fabriquées de toutes pièces ou exagérées sur les autorités au pouvoir. Il est donc du devoir des burkinabè de se battre pour céder une meilleure patrie aux générations à venir.
Les autorités au pouvoir ont besoin de toutes les idées et de l’intelligence des burkinabè. La lutte est burkinabè et elle sera gagnée par les burkinabè. Les FDS et VDP assurent valablement la sécurité. Les populations sont donc invitées à une franche coopération.
Le Burkina Faso qui n’arrivait pas à se défendre, arrive aujourd’hui à prendre ses responsables à travers des initiations stratégiques du Capitaine Ibrahim Traoré. En quoi de telles démarches de défense face aux terroristes dérangeraient des bitosards de média qui sont prêts à tout inventer pour des intérêts cachés ?
Fatou Mimata
