L’un des défis majeurs auxquels s’est lancé le Président Ibrahim Traoré, est la lutte contre le terrorisme et la restauration de l’intégralité du territoire national. Pour atteindre ses objectifs, les efforts se font en matière de renforcement des équipements sophistiqués, la construction des camps des opérations et le renforcement des rangs des forces de l’ordre et de sécurité.
Parlant du renforcement des équipements, le Chef de l’Etat, a mis les moyens pour que les pick-up en mauvais état, soient réaménagés et militarisés afin de renforcer l’armée dans la lutte contre les groupes jihadistes et assurer la défense aux burkinabè.
On reconnait l’artisan à l’œuvre, le Président Ibrahim Traoré, homme du terrain et connaissant les réalités, ne ménage aucun effort à mettre en place des stratégies et des orientations, pour plus d’efficacité sur le terrain de combat.
En un Chef guerrier, S.E Ibrahim Traoré porte du réconfort à ses soldats et surtout les encourage pour la suite du combat qu’ils mènent, pour la défense de la patrie.
Dans cette lutte, le Président Ibrahim Traoré, invite donc les soldats à la culture du patriotisme et au sens du sacrifice pour la nation. Car pour le Président Traoré, il est du devoir des forces de défense et de sécurité de tout mettre en œuvre pour sécuriser le pays et protéger les populations.
La population a sa part à jouer dans cette lutte. C’est le moment pour que les civils et les forces de l’ordre collaborent, être solidaires pour aider le Président Traoré dans sa lourde tâche.
Le Chef de l’Etat, a procédé à l’opération de changement au sein de l’armée. Ce changement vise à rendre plus efficace les différentes unités de l’armée pour des victoires éclatantes sur l’ennemi, qui a assez endeuillé les populations burkinabè et causé des déplacés. Pour plus d’efficacité dans les interventions militaires, le Président a innové en créant six Bataillons d’Intervention Rapide qui seront basés dans la capitale pour intervenir dans tout le pays, à tout moment qu’il y a un besoin en urgence.
Alfred H.
